Des bancs de l’école à l’entreprise, donner vie aux projets de développement durable
Publié le 26 avril 2023
4 minutes
Étudiante en génie chimique à l’université de Campinas à São Paulo (Brésil), Luana Cattan entrevoit déjà la façon dont elle veut contribuer à une société bas carbone, une fois diplômée. La Summer School* d’Air Liquide lui a permis de se faire une meilleure idée du rôle joué par les entreprises dans la réduction de l’empreinte carbone et d’être plus que jamais motivée à y contribuer !
Comment avez-vous découvert Air Liquide ?
Après avoir participé à des Olympiades scientifiques au lycée, où j'ai approfondi ma passion pour la chimie, la physique et les mathématiques, je me suis inscrite au double diplôme d'ingénierie chimique, qui m’a permis d'obtenir une qualification à la fois au Brésil et en France. Je me suis alors renseignée sur les groupes industriels français, dont Air Liquide. Je connaissais donc déjà le Groupe quand un ami d’école m’a encouragée à postuler à la Summer School d’Air Liquide. J'ai été acceptée et j’y suis allée. Pendant une semaine, j’ai pu travailler et expérimenter avec d’autres étudiants passionnés venus du monde entier. Une occasion unique d’en apprendre davantage sur moi et sur mes projets futurs !
Qu’est-ce qui vous a plu dans le programme ?
J’ai vraiment apprécié le programme par plein d’aspects ! Le plus enrichissant a été de pouvoir échanger avec des salariés d’Air Liquide de différents métiers et secteurs. Ils ont pris le temps de nous faire découvrir leur domaines d’expertise. Ils étaient tellement passionnés par leur travail, par les objectifs climat ambitieux du Groupe, que cela en était presque contagieux ! Je me souviens d’une présentation en particulier, où nous avons parlé de notre empreinte carbone et celle d’Air Liquide. Cela m’a permis de mieux comprendre les principales sources d'émissions de CO2, leur impact et les initiatives phares du Groupe en matière de décarbonation. Pour moi, la responsabilité sociale de l’entreprise est un enjeu crucial. J’ai été marquée par l’honnêteté et la transparence du discours des experts d’Air Liquide face à l’ampleur des défis. Et surtout, le sérieux avec lequel ils entendent y répondre !
C’est aussi une opportunité de faire connaissance avec les autres participants et de travailler ensemble. Avec mon équipe, nous avons imaginé un projet d’entreprise pour attirer les jeunes femmes vers les métiers d'ingénieur. Ce fut une très belle expérience (et je ne dis pas cela uniquement parce que nous avons gagné !).
Le programme vous a-t-il aidé sur le plan professionnel ?
Oui, vraiment. Le programme Summer School d’Air Liquide m’a montré qu'il existe des entreprises qui prennent très sérieusement leur responsabilité vis-à-vis des générations futures. Mais aussi qu’il est tout à fait possible de poursuivre une carrière d’ingénieur au service du développement durable. C’est toujours rassurant de savoir que de grandes entreprises partagent mes valeurs.
Comment cela vous a-t-il permis de mieux comprendre la RSE** ?
Le programme a été l’occasion de voir à quel point la RSE est un sujet vaste. Il peut s’agir, par exemple, d’inclusion, pour favoriser la diversité au sein des équipes. J'ai également découvert le programme Citizen at Work d’Air Liquide, qui donne aux salariés la possibilité de faire du bénévolat dans leurs communautés locales. Cela m’a conforté dans l’idée que les entreprises ont un rôle clé à jouer dans la société et que leurs actions peuvent bénéficier à des communautés entières. Je vais tâcher de garder tout cela en tête pour l'avenir !
La RSE sera donc un critère essentiel dans vos recherches d’emploi ?
Le plus important, même ! Travailler pour une entreprise qui manifeste un engagement fort en matière de développement durable est essentiel à mes yeux. C’est un critère non-négociable. Je suis convaincue que les grands groupes industriels sont en mesure de faire bouger les choses. Ils ont la responsabilité et les moyens concrets de trouver des solutions réalistes au défi climatique et de les développer à grande échelle.