Acteur des solutions climat, Supporteur Officiel en hydrogène de Paris 2024
Air Liquide, acteur des solutions climat, fournit de l’hydrogène d’origine renouvelable à Paris 2024 pour un événement plus responsable.
Pourquoi l’hydrogène ?
Réduire les émissions de CO2 des industries les plus émettrices, développer des transports durables… Lorsqu’il est produit à partir de ressources renouvelables, l’hydrogène a un potentiel immense. Il peut ainsi avoir un rôle déterminant à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique dans les prochaines décennies.
Curieux d’en savoir plus ? Jetez un coup d’oeil à nos 7 questions les plus posées sur l'hydrogène.
L’hydrogène est un atout clé pour réussir la transition énergétique. Air Liquide est fier de contribuer à réduire les émissions carbone de Paris 2024 en devenant Supporteur Officiel en hydrogène de l'événement.

“L'hydrogène fait désormais partie de notre quotidien et fera encore davantage partie de celui des générations futures. Son développement rapide et collectif à l'échelle mondiale est essentiel pour réussir la transition énergétique.
”
Armelle Levieux
Membre du Comité Exécutif, Directrice de l’Innovation supervisant également les Branches d’Activités Mondiales Hydrogène Energie et Électronique
L’hydrogène, c’est quoi ?
Faux !
L’hydrogène, comme le fer ou le cuivre, est un des 118 éléments naturels connus à ce jour qui composent l’univers. Dans la nature, il n’est jamais seul, il se combine avec d’autres éléments et on en trouve quasiment partout, à commencer par l’eau H2O. Enfin, l’hydrogène est la molécule la plus abondante de l’univers : une autre spécificité importante qui en dit long sur son potentiel !
Faux !
L’hydrogène, comme le fer ou le cuivre, est un des 118 éléments naturels connus à ce jour qui composent l’univers. Dans la nature, il n’est jamais seul, il se combine avec d’autres éléments et on en trouve quasiment partout, à commencer par l’eau H2O. Enfin, l’hydrogène est la molécule la plus abondante de l’univers : une autre spécificité importante qui en dit long sur son potentiel !
Vrai !
L’hydrogène, comme le fer ou le cuivre, est un des 118 éléments naturels connus à ce jour qui composent l’univers. Dans la nature, il n’est jamais seul, il se combine avec d’autres éléments et on en trouve quasiment partout, à commencer par l’eau H2O. Enfin, l’hydrogène est la molécule la plus abondante de l’univers : une autre spécificité importante qui en dit long sur son potentiel !
Du coup l’hydrogène, c’est une énergie ?
Oui, c’est aussi simple que ça !
Pas exactement… À la différence d’une source d’énergie qui existe à l’état naturel (soleil, vent…), l’hydrogène est un vecteur énergétique.L’hydrogène permet de stocker et transporter de l’énergie, ce qui est particulièrement intéressant pour passer d’une énergie primaire (issue de la nature) à l’énergie finale (délivrée au consommateur).
Cela veut dire que pour le produire, on a besoin d’une source d’énergie. C’est pourquoi on dit aussi que l’hydrogène est une énergie secondaire car il provient de la transformation d’une énergie primaire. Tout comme l’électricité.
Vrai !
Pas exactement… À la différence d’une source d’énergie qui existe à l’état naturel (soleil, vent…), l’hydrogène est un vecteur énergétique.L’hydrogène permet de stocker et transporter de l’énergie, ce qui est particulièrement intéressant pour passer d’une énergie primaire (issue de la nature) à l’énergie finale (délivrée au consommateur).
Cela veut dire que pour le produire, on a besoin d’une source d’énergie. C’est pourquoi on dit aussi que l’hydrogène est une énergie secondaire car il provient de la transformation d’une énergie primaire. Tout comme l’électricité.
Faux !
Pas exactement… À la différence d’une source d’énergie qui existe à l’état naturel (soleil, vent…), l’hydrogène est un vecteur énergétique.L’hydrogène permet de stocker et transporter de l’énergie, ce qui est particulièrement intéressant pour passer d’une énergie primaire (issue de la nature) à l’énergie finale (délivrée au consommateur).
Cela veut dire que pour le produire, on a besoin d’une source d’énergie. C’est pourquoi on dit aussi que l’hydrogène est une énergie secondaire car il provient de la transformation d’une énergie primaire. Tout comme l’électricité.
Comment produit-on de l’hydrogène ?
Faux !
L'hydrogène est produit soit par électrolyse de l'eau soit à partir de méthane ou de biométhane par des procédés de vaporeformage ou de reformage autothermique avec captage du CO2 émis lors de la fabrication.
L’hydrogène a historiquement été produit à base d’énergies fossiles… Son avenir sera résolument bas carbone et renouvelable ! Notre objectif : convertir le plus rapidement possible tous nos moyens de production d’hydrogène carboné en méthodes décarbonées.
Faux !
L'hydrogène est produit soit par électrolyse de l'eau soit à partir de méthane ou de biométhane par des procédés de vaporeformage ou de reformage autothermique avec captage du CO2 émis lors de la fabrication.
L’hydrogène a historiquement été produit à base d’énergies fossiles… Son avenir sera résolument bas carbone et renouvelable ! Notre objectif : convertir le plus rapidement possible tous nos moyens de production d’hydrogène carboné en méthodes décarbonées.
Vrai !
L'hydrogène est produit soit par électrolyse de l'eau soit à partir de méthane ou de biométhane par des procédés de vaporeformage ou de reformage autothermique avec captage du CO2 émis lors de la fabrication.
L’hydrogène a historiquement été produit à base d’énergies fossiles… Son avenir sera résolument bas carbone et renouvelable ! Notre objectif : convertir le plus rapidement possible tous nos moyens de production d’hydrogène carboné en méthodes décarbonées.
L’hydrogène, ça sert à quoi ?
Faux !
L’hydrogène est utilisé depuis des années dans de nombreuses applications industrielles. La majeure partie de l’hydrogène sert aujourd'hui à fabriquer de l’ammoniac (indispensable à l’industrie des engrais) mais aussi à désulfurer les carburants. L’hydrogène sert également à la fabrication de composants électroniques ou encore à la propulsion des fusées.
De nouvelles applications de l’hydrogène se développent, notamment au service des industries les plus intensives en carbone (dans l’acier ou le verre notamment) mais aussi dans le domaine de la mobilité (voiture, bus, train, bateau, avion à hydrogène).
Faux !
L’hydrogène est utilisé depuis des années dans de nombreuses applications industrielles. La majeure partie de l’hydrogène sert aujourd'hui à fabriquer de l’ammoniac (indispensable à l’industrie des engrais) mais aussi à désulfurer les carburants. L’hydrogène sert également à la fabrication de composants électroniques ou encore à la propulsion des fusées.
De nouvelles applications de l’hydrogène se développent, notamment au service des industries les plus intensives en carbone (dans l’acier ou le verre notamment) mais aussi dans le domaine de la mobilité (voiture, bus, train, bateau, avion à hydrogène).
Vrai !
L’hydrogène est utilisé depuis des années dans de nombreuses applications industrielles. La majeure partie de l’hydrogène sert aujourd'hui à fabriquer de l’ammoniac (indispensable à l’industrie des engrais) mais aussi à désulfurer les carburants. L’hydrogène sert également à la fabrication de composants électroniques ou encore à la propulsion des fusées.
De nouvelles applications de l’hydrogène se développent, notamment au service des industries les plus intensives en carbone (dans l’acier ou le verre notamment) mais aussi dans le domaine de la mobilité (voiture, bus, train, bateau, avion à hydrogène).
Que fait-on du CO2 capté lors de la production d’hydrogène ?
Faux !
Le CO2 peut être utilisé sous différentes formes par de nombreuses industries.
80% du CO2 vendu par Air Liquide est utilisé dans l’industrie agro-alimentaire pour la carbonatation* des sodas et eaux minérales, pour refroidir, congeler ou allonger la durée de conservation des denrées alimentaires, ou pour accélérer la croissance des végétaux sous serres.
Les 20% restants sont utilisés dans d’autres industries notamment pour optimiser la récupération de pétrole brut dans les gisements, pour réaliser des soudures et les protéger de l’oxydation, comme solvant pour des nettoyages industriels, pour calibrer les équipements aéronautiques ou automobiles mais aussi comme agent de refroidissement dans l’électronique, comme agent réactif dans l’industrie pharmaceutique, pour certaines interventions médicales (coelioscopies, coloscopies…) ou encore dans le traitement des eaux usées ou dans la cimenterie.
Vrai !
Le CO2 peut être utilisé sous différentes formes par de nombreuses industries.
80% du CO2 vendu par Air Liquide est utilisé dans l’industrie agro-alimentaire pour la carbonatation* des sodas et eaux minérales, pour refroidir, congeler ou allonger la durée de conservation des denrées alimentaires, ou pour accélérer la croissance des végétaux sous serres.
Les 20% restants sont utilisés dans d’autres industries notamment pour optimiser la récupération de pétrole brut dans les gisements, pour réaliser des soudures et les protéger de l’oxydation, comme solvant pour des nettoyages industriels, pour calibrer les équipements aéronautiques ou automobiles mais aussi comme agent de refroidissement dans l’électronique, comme agent réactif dans l’industrie pharmaceutique, pour certaines interventions médicales (coelioscopies, coloscopies…) ou encore dans le traitement des eaux usées ou dans la cimenterie.
Faux !
Le CO2 peut être utilisé sous différentes formes par de nombreuses industries.
80% du CO2 vendu par Air Liquide est utilisé dans l’industrie agro-alimentaire pour la carbonatation* des sodas et eaux minérales, pour refroidir, congeler ou allonger la durée de conservation des denrées alimentaires, ou pour accélérer la croissance des végétaux sous serres.
Les 20% restants sont utilisés dans d’autres industries notamment pour optimiser la récupération de pétrole brut dans les gisements, pour réaliser des soudures et les protéger de l’oxydation, comme solvant pour des nettoyages industriels, pour calibrer les équipements aéronautiques ou automobiles mais aussi comme agent de refroidissement dans l’électronique, comme agent réactif dans l’industrie pharmaceutique, pour certaines interventions médicales (coelioscopies, coloscopies…) ou encore dans le traitement des eaux usées ou dans la cimenterie.